Ko-Ko : Duke Ellington en son chef-d'oeuvre : essai
« On ne sait pas si le cinéma est important dans notre siècle. Peut-être que ce qui est important, c'est un jazzman, comme Duke Ellington. »
Orson Welles
« Alain Pailler est un spécialiste et, mieux encore, un amoureux d'Ellington. Voici qu'il se lance dans l'exploration de Ko-Ko - la version princeps du 6 mars 1940 {...} Sa précision n'a d'égal que son lyrisme. Son enthousiasme, communicatif, n'empiète jamais sur la rigueur de l'historien »
Jacques Aboucaya (Jazz Magazine)
Lorsque j'ai demandé à Alain Pailler lequel de ses trois livres sur le Duke pouvait avoir ses faveurs, il m'a répondu sans hésitation que c'était Ko-Ko, couronné par l'Académie du Jazz et, selon lui, synthèse de son travail sur l'univers ellingtonien. Sur les ondes de France Musique, Franck Médioni a pour sa part précisé : « C'est l'étude, minutieuse, du chef-d'oeuvre de Duke Ellington. C'est aussi, en creux, un subtil portrait du Duke. »
Dans ce livre, j'ai vu Ellington comme on voit Mozart ; la juxtaposition sensible et solaire de la composition, de l'arrangement et de l'interprétation comme une seule et même oeuvre, démontrant le génial aller-retour entre arbitrage individuel et effort collectif. Plus qu'un texte sur l'un des jazzmen majeurs du XXe siècle, il s'agit d'une analyse qui s'attache à saisir ce que recouvre le terme « création ». A juste titre, Alex Dutilh rappelle que Ko-Ko est « tout simplement un des chefs-d'oeuvre de l'histoire du jazz. »
Patrick Frémeaux
Largeur : 13.0 cm
Epaisseur : 1.7 cm