
Les Malarazza
Les Malarazza
Malarazza, n. f. XVIe de l'ital. (sicil.) mala razza : littéralement, la mauvaise race. Mauvaise graine, mal parti. Être sur la mauvaise pente, mal barré. Titre éponyme d'un chant révolutionnaire sicilien (1857).
« Mon père aurait été un bon père s'il n'avait pas tué ma mère. » Ainsi s'ouvre la saga des Malarazza, septième roman du scénariste Ugo Barbara, dont l'incroyable best-seller est aussi le premier livre traduit en France.
L'histoire commence à Castellammare del Golfo, pas très loin de Palerme, en 1860. Antonio Montalto a l'intuition de céder une partie des vignes et des oliveraies qui ont fait la fortune de sa famille en échange d'un voilier. Tout le pays le prend pour un fou, mais il a compris que le siècle s'ouvrait en Amérique.
De la Sicile à New York, s'engage une lutte à mort contre la pauvreté et le destin, guidée par l'audace d'une famille et l'ambition d'une femme. À chaque page tournée, on est balloté, entraîné dans le fleuve d'une écriture parfaitement maîtrisée, où l'amour finit toujours par avoir raison de la haine.
Le charme d'une saga, la puissance d'une épopée.
Largeur : 15.0 cm
Epaisseur : 3.1 cm