Les métamorphoses. Vol. 1. Vita nostra
Les métamorphoses
Vita nostra brevis est, brevi finietur...
« Notre vie est brève, elle finira bientôt... »
C'est dans le bourg paumé de Torpa que Sacha entonnera l'hymne des étudiants, à l'« Institut des technologies spéciales ». Pour y apprendre quoi ? Allez savoir. Dans quel but et en vue de quelle carrière ? Mystère encore. Il faut dire que son inscription ne relève pas exactement d'un choix : on la lui a imposée... Comment s'étonner dès lors de l'apparente absurdité de l'enseignement, de l'arbitraire despotisme des professeurs et de l'inquiétante bizarrerie des étudiants ?
A-t-on affaire, avec Vita nostra, à un roman d'initiation à la magie ? Oui et non. On évoque irrésistiblement la saga d'Harry Potter et plus encore Les Magiciens de Lev Grossman. Mêmes jeunes esprits en formation, même apprentissage semé d'obstacles. Mais c'est sur une autre terre et dans une autre culture, slaves celles-là, que reposent les fondations d'un livre qui nous rappellera que le Verbe se veut à l'origine du monde. Les lecteurs de fantasy occidentale saturés d'aspirations à l'héroïsme tous azimuts en seront tourneboulés.
Vita nostra ouvre le triptyque des Métamorphoses. Les romans du cycle n'ont de lien que la thématique de la métamorphose, en hommage au poème d'Ovide, et un vers du Gaudeamus (Réjouissons-nous), l'hymne des carabins : Vita nostra brevis est, brevi finietur (Notre vie est brève, elle finira bientôt). Numérique, ou brevis est (à paraître en 2020), plonge le lecteur dans l'univers virtuel des jeux vidéo. Dans Migrant, ou brevi finietur, nous suivons un Terrien qui a obtenu son visa pour un autre monde, à l'autre bout de la Galaxie.
Largeur : 15.0 cm
Epaisseur : 4.0 cm