
Les sept oeuvres de miséricorde
À Naples, dans la petite église « della Misericordia », on peut admirer un tableau du Caravage : « Les Sept OEuvres de la Miséricorde ». Une oeuvre au clair-obscur très caractéristique. De cette vision est né ce recueil.
Pour les textes, la contrainte était toute trouvée. Prendre chacune des « sept oeuvres de Miséricorde corporelles » pour en faire sortir le « côté obscur ». Un tueur professionnel est chargé d'exécuter un contrat pour lequel il a été payé. Chacune de ses missions est en lien avec une des oeuvres de Miséricorde. Le contrat sera exécuté. Les « méchants » seront punis... La religion entre clarté et obscurité.
- Donner à manger aux affamés (Marc Villard) ;
- Donner à boire à ceux qui ont soif (Anne Céline Dartevel) ;
- Vêtir ceux qui sont nus (Jean-Bernard Pouy) ;
- Accueillir les étrangers (Laurence Bib-erfeld) ;
- Assister les malades (Denis Flageul) ;
- Visiter les prisonniers (Marion Chemin) ;
- Ensevelir les morts (Jean-Hugues Oppel).
Les oeuvres de miséricorde sont les actions que doit mener chaque chrétien. Dans la théologie catholique, c'est une façon de réparer les fautes commises, même si cette réparation est faite par le moyen d'une oeuvre charitable. Il y a quatorze oeuvres, sept corporelles et sept spirituelles. Une huitième oeuvre a été ajoutée par le Pape en 2016 autour du mot d'ordre : Usons de miséricorde envers notre maison commune. On retrouve une évocation de cette huitième oeuvre dans le dessin de couverture de Pierre Macé.
Largeur : 14.0 cm
Epaisseur : 0.8 cm